Passer aux informations produits
1 de 1

SANOFI SpA

Buscofen 12 capsules molles 200 mg (ibuprofène)

Buscofen 12 capsules molles 200 mg (ibuprofène)

Prix habituel €8,50
Prix habituel €8,50 Prix promotionnel €8,50
Promotion Épuisé
Taxes incluses. Frais d'expédition calculés à l'étape de paiement.
Logo Farmaci da banco

Buscofène 12 Gélules Molles 200 mg c'est un anti-inflammatoire basé sur ibuprofène indiqué pour le traitement de douleur légère à modérée comment douleurs menstruelles, mal de tête, mal de dents, névralgie, douleurs musculaires et articulaires. Le libellé dans capsules molles garantit un absorption rapide pour un soulagement rapide de la douleur. Lisez la notice et demandez conseil à votre médecin ou pharmacien.

Poids net produit

Ean

029396037

Minsan

029396037

Afficher tous les détails

Buscofen 12 Capsules Molles est un médicament à base d’ibuprofène (200 mg par capsule), un principe actif appartenant à la classe des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), indiqué dans le traitement des douleurs de diverses origines. Il est particulièrement efficace pour soulager la douleur liée à des affections telles que les douleurs menstruelles, les maux de tête, les maux de dents, les névralgies, ainsi que les douleurs ostéo-articulaires et musculaires. Grâce à sa formulation en capsules molles, il est rapidement absorbé par l’organisme, offrant un soulagement plus rapide que d’autres formes solides.

Buscofen 12 Capsules Molles est indiqué pour le traitement symptomatique des douleurs d’intensité légère à modérée, notamment :

  • Douleurs menstruelles (dysménorrhée) ;

  • Maux de tête ;

  • Maux de dents ;

  • Névralgies ;

  • Douleurs musculaires et articulaires (telles que lombalgies, mal de dos et arthralgies) ;

  • Douleurs rhumatismales et inflammatoires d’origine musculo-squelettique.

 

PRINCIPES ACTIFS

Principes actifs contenus dans Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg – Quel est le principe actif de Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg ?

Comprimés pelliculés : 1 comprimé contient : ibuprofène 200 mg. Capsules de gélatine molle : 1 capsule molle contient : ibuprofène 200 mg. Pour la liste complète des excipients, voir le paragraphe 6.1.

 

EXCIPIENTS

Composition de Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg – Que contient Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg ?

Comprimés pelliculés – blister de 20 comprimés : amidon de maïs, carboxyméthylamidon sodique, stéarate de magnésium, hydroxypropylméthylcellulose, polyéthylèneglycol 6000, talc, dioxyde de titane, émulsion antimousse. Capsules molles – blister de 12 ou 24 capsules : macrogol 600, hydroxyde de potassium, eau purifiée, gélatine, sorbitol liquide partiellement déshydraté.

INDICATIONS

Indications thérapeutiques Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg – Pourquoi utilise-t-on Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg ? À quoi sert-il ?

Douleurs de diverses origines et natures (douleurs menstruelles, maux de tête, maux de dents, névralgies, douleurs ostéo-articulaires et musculaires).

 

CONTRE-INDICATIONS EFFETS SECONDAIRES

Contre-indications Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg – Quand ne doit-on pas utiliser Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg ?

Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients. Sujets présentant une hypersensibilité à l’acide acétylsalicylique ou à d’autres antalgiques, antipyrétiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en particulier lorsque l’hypersensibilité est associée à une polypose nasale, un angio-œdème et/ou un asthme. Insuffisance hépatique sévère. Insuffisance rénale sévère (filtration glomérulaire inférieure à 30 ml/min). Insuffisance cardiaque sévère (classe IV NYHA). Sujets atteints de dyscrasies sanguines d’origine inconnue, de porphyrie, d’hypertension, d’insuffisance coronarienne sévère non contrôlée. Ulcère peptique sévère ou en phase active. Antécédents d’hémorragie gastro-intestinale ou de perforation liés à des traitements antérieurs par AINS, ou antécédents d’hémorragie/ulcère peptique récidivant (deux épisodes distincts ou plus d’ulcération ou de saignement prouvés). Sujets présentant des conditions cliniques entraînant une augmentation de la tendance au saignement. En cas d’intervention chirurgicale concomitante (y compris interventions dentaires). Sujets ayant subi des pertes importantes de liquides (vomissements, diarrhée ou faible apport hydrique). Pendant le troisième trimestre de grossesse (voir par. 4.6). Enfants de moins de 12 ans.

 

POSOLOGIE

Posologie et mode d’administration de Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg – Comment prendre Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg ?

Ne pas administrer aux enfants de moins de 12 ans. Les effets indésirables peuvent être minimisés en utilisant la dose minimale efficace pendant la durée de traitement la plus courte possible nécessaire au contrôle des symptômes (voir par. 4.4). Comprimés pelliculés. Adultes et adolescents de plus de 12 ans : 1 à 2 comprimés, deux à trois fois par jour, de préférence l’estomac plein. Ne pas dépasser la dose de 1200 mg (6 comprimés) par jour. Ne pas dépasser les doses recommandées. Si l’utilisation du médicament est nécessaire pendant plus de 3 jours chez les adolescents, ou en cas d’aggravation des symptômes, consulter un médecin. Personnes âgées : les patients âgés doivent s’en tenir aux doses minimales indiquées. Patients présentant une insuffisance rénale : en cas d’insuffisance rénale, l’élimination peut être réduite et la posologie doit être adaptée en conséquence. Capsules molles. Adultes et adolescents de plus de 12 ans : 1 à 2 capsules molles, deux à trois fois par jour, de préférence l’estomac plein. Ne pas dépasser la dose de 1200 mg (6 capsules molles) par jour. Ne pas dépasser les doses recommandées. Si l’utilisation du médicament est nécessaire pendant plus de 3 jours chez les adolescents, ou en cas d’aggravation des symptômes, consulter un médecin. Personnes âgées : les patients âgés doivent s’en tenir aux doses minimales indiquées. Patients présentant une insuffisance rénale : en cas d’insuffisance rénale, l’élimination peut être réduite et la posologie doit être adaptée en conséquence. Buscofen ne doit pas être utilisé plus de 7 jours. Si des doses plus élevées sont nécessaires ou si un traitement plus prolongé est requis, il est nécessaire de consulter son médecin traitant. Les comprimés pelliculés et les capsules molles doivent être avalés sans être mâchés, de préférence avec un peu d’eau. Il est conseillé de les prendre pendant ou après les repas, en particulier chez les personnes souffrant de troubles gastriques.

 

CONSERVATION

Conservation de Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg – Comment conserver Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg ?

Comprimés pelliculés – blister de 20 comprimés : conserver à température ambiante. Capsules molles – blister de 12 ou 24 capsules : aucune condition particulière de conservation.

AVERTISSEMENTS

Avertissements Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg – Il est important de savoir que :

L’utilisation de Buscofen en association avec d’autres AINS, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2 (COX-2), doit être évitée en raison d’une augmentation du risque d’ulcération ou de saignement (voir par. 4.5). Les effets indésirables peuvent être minimisés en utilisant la dose efficace la plus faible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au contrôle des symptômes (voir les paragraphes ci-dessous sur les risques gastro-intestinaux et cardiovasculaires). Population pédiatrique : chez les adolescents déshydratés, il existe un risque d’altération de la fonction rénale. Personnes âgées : les patients âgés présentent une augmentation de la fréquence des réactions indésirables aux AINS, en particulier des hémorragies et des perforations gastro-intestinales, qui peuvent être fatales (voir paragraphe 4.2). Hémorragie gastro-intestinale, ulcération et perforation : au cours du traitement par tous les AINS, à tout moment, avec ou sans symptômes d’alerte ou antécédents d’événements gastro-intestinaux graves, des hémorragies gastro-intestinales, ulcérations et perforations ont été rapportées, pouvant être fatales. Chez les personnes âgées et chez les patients ayant des antécédents d’ulcère, en particulier s’il est compliqué d’hémorragie ou de perforation (voir paragraphe 4.3), le risque d’hémorragie gastro-intestinale, d’ulcération ou de perforation est plus élevé avec des doses accrues d’AINS. Ces patients doivent débuter le traitement avec la dose la plus faible disponible. Chez ces patients, ainsi que chez ceux qui prennent de faibles doses d’acide acétylsalicylique ou d’autres médicaments pouvant augmenter le risque d’événements gastro-intestinaux, l’utilisation concomitante d’agents protecteurs (misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) doit être envisagée (voir ci-dessous et paragraphe 4.5). Les patients ayant des antécédents de toxicité gastro-intestinale, en particulier les personnes âgées, doivent signaler tout symptôme gastro-intestinal inhabituel (en particulier hémorragie gastro-intestinale), notamment aux premiers stades du traitement. La prudence est recommandée chez les patients prenant simultanément des médicaments susceptibles d’augmenter le risque d’ulcération ou de saignement, tels que les corticostéroïdes oraux, les anticoagulants comme la warfarine, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) ou les antiagrégants plaquettaires comme l’acide acétylsalicylique (voir paragraphe 4.5). En cas d’hémorragie ou d’ulcération gastro-intestinale chez des patients prenant Buscofen, le traitement doit être interrompu. Les AINS doivent être administrés avec prudence chez les patients ayant des antécédents de maladie gastro-intestinale (rectocolite hémorragique, maladie de Crohn) car ces affections peuvent être exacerbées (voir paragraphe 4.8). Utiliser avec prudence chez les patients présentant des troubles de la coagulation. Effets cardiovasculaires et cérébrovasculaires : une surveillance appropriée et des instructions adéquates sont nécessaires chez les patients ayant des antécédents d’hypertension et/ou d’insuffisance cardiaque congestive légère à modérée, car une rétention hydrique et des œdèmes ont été observés en association avec le traitement par AINS. Des études cliniques suggèrent que l’utilisation de l’ibuprofène, en particulier à fortes doses (2400 mg/jour), peut être associée à une légère augmentation du risque d’événements thrombotiques artériels (par ex. infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral). En général, les études épidémiologiques ne suggèrent pas que de faibles doses d’ibuprofène (par ex. ≤ 1200 mg/jour) soient associées à une augmentation du risque d’événements thrombotiques artériels. Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive (classe II-III NYHA), une cardiopathie ischémique avérée, une artériopathie périphérique et/ou une maladie cérébrovasculaire ne doivent être traités par l’ibuprofène qu’après une évaluation attentive, et les fortes doses (2400 mg/jour) doivent être évitées. Une attention particulière doit également être portée avant d’instaurer un traitement au long cours chez les patients présentant des facteurs de risque d’événements cardiovasculaires (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme), surtout si des doses élevées (2400 mg/jour) d’ibuprofène sont nécessaires. Réactions cutanées sévères : de graves réactions cutanées, certaines fatales, incluant la dermatite exfoliative, le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique, ont été rapportées très rarement en association avec l’utilisation des AINS (voir paragraphe 4.8). Aux premiers stades du traitement, les patients semblent exposés à un risque plus élevé ; l’apparition de la réaction survient dans la plupart des cas au cours du premier mois de traitement. Une pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) a été signalée en relation avec des médicaments contenant de l’ibuprofène. Le traitement par Buscofen doit être arrêté dès les premiers signes d’éruption cutanée, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d’hypersensibilité. Masquage des symptômes d’infections sous-jacentes : Buscofen peut masquer les symptômes d’infection, ce qui pourrait retarder la mise en route d’un traitement approprié et aggraver ainsi l’évolution de l’infection. Cela a été observé dans la pneumonie bactérienne acquise en communauté et dans les complications bactériennes de la varicelle. Lorsque Buscofen est administré pour soulager la fièvre ou la douleur liées à une infection, une surveillance de l’infection est conseillée. En dehors de l’hôpital, le patient doit consulter un médecin si les symptômes persistent ou s’aggravent. Effets rénaux : lors de l’instauration d’un traitement par ibuprofène, la prudence est requise chez les patients présentant une déshydratation importante.

 

INTERACTIONS

Interactions Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg – Quels médicaments ou aliments peuvent modifier l’effet de Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg ?

L’ibuprofène (comme les autres AINS) doit être utilisé avec prudence en association avec : corticostéroïdes : augmentation du risque d’ulcération ou d’hémorragie gastro-intestinale (voir par. 4.4) ; anticoagulants : les AINS peuvent augmenter les effets des anticoagulants comme la warfarine (voir paragraphe 4.4). Il est opportun de surveiller les patients traités par coumariniques ; acide acétylsalicylique et autres AINS : ces substances peuvent augmenter le risque de réactions indésirables gastro-intestinales (voir paragraphe 4.4). L’administration concomitante d’ibuprofène et d’acide acétylsalicylique n’est généralement pas recommandée en raison du risque potentiel d’augmentation des effets indésirables. Des données expérimentales suggèrent que l’ibuprofène peut inhiber de façon compétitive l’effet de l’acide acétylsalicylique à faible dose sur l’agrégation plaquettaire lorsque les deux médicaments sont administrés simultanément. Bien qu’il existe des incertitudes quant à l’extrapolation de ces données à la situation clinique, la possibilité que l’utilisation régulière et prolongée d’ibuprofène puisse réduire l’effet cardioprotecteur de l’acide acétylsalicylique à faible dose ne peut être exclue. Aucun effet clinique pertinent n’est considéré comme probable après une utilisation occasionnelle de l’ibuprofène (voir paragraphe 5.1). Il est néanmoins opportun de ne pas associer l’ibuprofène à l’aspirine ou à d’autres AINS ; antiagrégants plaquettaires et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) : augmentation du risque d’hémorragie gastro-intestinale (voir par. 4.4) ; diurétiques, inhibiteurs de l’ECA et antagonistes de l’angiotensine II : les AINS peuvent réduire l’effet des diurétiques et d’autres antihypertenseurs. Les diurétiques peuvent également augmenter le risque de néphrotoxicité associé aux AINS. Chez certains patients présentant une fonction rénale altérée (par exemple patients déshydratés ou personnes âgées), la co-administration d’un inhibiteur de l’ECA ou d’un antagoniste de l’angiotensine II avec des agents inhibant le système cyclo-oxygénase peut entraîner une détérioration supplémentaire de la fonction rénale, incluant une insuffisance rénale aiguë possible, généralement réversible. Ces interactions doivent être prises en compte chez les patients prenant Buscofen en association avec des inhibiteurs de l’ECA ou des antagonistes de l’angiotensine II. Cette association doit donc être administrée avec prudence, en particulier chez les personnes âgées. Les patients doivent être correctement hydratés et une surveillance de la fonction rénale doit être envisagée après l’initiation de la thérapie concomitante et, périodiquement, par la suite ; lithium : l’administration concomitante de lithium et d’AINS entraîne une augmentation des concentrations sanguines de lithium en raison d’une réduction de son élimination, avec possibilité d’atteindre le seuil toxique. Si cette association est nécessaire, surveiller la lithémie afin d’adapter la posologie du lithium pendant le traitement concomitant par ibuprofène ; méthotrexate : les AINS peuvent inhiber la sécrétion tubulaire du méthotrexate et diminuer sa clairance, avec augmentation du risque de toxicité ; aminoglycosides : les AINS peuvent diminuer l’excrétion des aminoglycosides ; glycosides cardiotoniques : les AINS peuvent aggraver l’insuffisance cardiaque, réduire le taux de filtration glomérulaire et augmenter les concentrations plasmatiques des glycosides cardiotoniques ; phénytoïne : les AINS peuvent entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de phénytoïne ; cholestyramine : l’administration concomitante d’ibuprofène et de cholestyramine peut réduire l’absorption de l’ibuprofène au niveau gastro-intestinal. Toutefois, la pertinence clinique de cette interaction n’est pas connue ; ciclosporine : augmentation du risque de néphrotoxicité avec les AINS ; inhibiteurs de la COX-2 et autres AINS : l’utilisation concomitante avec d’autres AINS, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, doit être évitée en raison d’un effet additif potentiel (voir par. 4.4) ; extraits végétaux : le Ginkgo biloba peut augmenter le risque de saignement en association avec les AINS ; mifépristone : en raison des propriétés antiprostaglandines des AINS, une diminution de l’efficacité du médicament peut théoriquement survenir. Les données limitées suggèrent que la co-administration d’AINS le jour d’administration des prostaglandines n’influence pas négativement les effets du mifépristone ou de la prostaglandine sur la maturation cervicale ou la contractilité utérine et ne réduit pas l’efficacité clinique de l’interruption de grossesse ; antibiotiques quinolones : des données chez l’animal indiquent que les AINS peuvent augmenter le risque de convulsions associé aux antibiotiques quinolones. Les patients prenant des AINS et des quinolones peuvent présenter un risque accru de développer des convulsions ; sulfamides hypoglycémiants (sulfonylurées) : les AINS peuvent augmenter l’effet des sulfonylurées. De rares cas d’hypoglycémie ont été rapportés chez des patients traités par sulfonylurées prenant de l’ibuprofène ; tacrolimus : possible augmentation du risque de néphrotoxicité lorsque les AINS sont administrés avec le tacrolimus ; zidovudine : augmentation du risque de toxicité hématologique en cas de co-administration avec des AINS. Des données indiquent un risque accru d’hémarthrose et d’hématome chez les patients hémophiles VIH+ traités simultanément par zidovudine et autres AINS ; ritonavir : augmentation possible de la concentration des AINS ; probénécide : ralentit l’excrétion des AINS avec possible augmentation de leurs concentrations plasmatiques ; sulfinpyrazone : peut retarder l’excrétion de l’ibuprofène ; inhibiteurs du CYP2C9 : l’administration concomitante d’ibuprofène et d’inhibiteurs du CYP2C9 peut augmenter l’exposition à l’ibuprofène (substrat du CYP2C9). Dans une étude avec le voriconazole et le fluconazole (inhibiteurs du CYP2C9), une exposition accrue au S(+)-ibuprofène d’environ 80 % à 100 % a été observée. Une réduction de la dose d’ibuprofène doit être envisagée lorsque des inhibiteurs puissants du CYP2C9 sont administrés concomitamment, en particulier lorsque des doses élevées d’ibuprofène sont administrées avec le voriconazole et le fluconazole. 

 

EFFETS INDÉSIRABLES

Comme tous les médicaments, Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg peut provoquer des effets indésirables – Quels sont les effets secondaires de Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg ?

Les effets indésirables observés avec l’ibuprofène sont généralement communs aux autres antalgiques, antipyrétiques et anti-inflammatoires non stéroïdiens. Affections gastro-intestinales : les événements indésirables les plus fréquemment observés sont de nature gastro-intestinale. Des ulcères peptiques, perforations ou hémorragies gastro-intestinales peuvent survenir, parfois fatals, en particulier chez les personnes âgées (voir par. 4.4). Une perforation gastro-intestinale avec l’utilisation de l’ibuprofène a été observée rarement. Après administration de Buscofen, ont été rapportés : nausées, vomissements, diarrhée, flatulences, constipation, dyspepsie, douleur épigastrique, brûlures d’estomac, douleurs abdominales, méléna, hématémèse, stomatite ulcéreuse, exacerbation de colite et de la maladie de Crohn (voir par. 4.4). Des gastrites ont été observées moins fréquemment. Très rarement, des pancréatites ont également été observées. Troubles du système immunitaire : des réactions d’hypersensibilité ont été rapportées après traitement par AINS. Elles peuvent se manifester par : a) réaction allergique non spécifique et anaphylaxie, b) réactions des voies respiratoires incluant asthme (parfois sévère), bronchospasme ou dyspnée, ou c) affections cutanées incluant divers types d’éruptions, prurit, urticaire, purpura, angio-œdème et, plus rarement, dermatites exfoliatives et bulleuses (y compris syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique et érythème polymorphe). Affections cardiaques et vasculaires : en association avec le traitement par AINS, ont été rapportés œdèmes, fatigue, hypertension et insuffisance cardiaque. Des études cliniques suggèrent que l’utilisation de l’ibuprofène, surtout à fortes doses (2400 mg/jour), peut être associée à une légère augmentation du risque d’événements thrombotiques artériels (par ex. infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral) (voir par. 4.4). D’autres événements indésirables rapportés moins fréquemment et pour lesquels un lien de causalité n’a pas nécessairement été établi incluent : Affections hématologiques et du système lymphatique : leucopénie, thrombocytopénie, neutropénie, agranulocytose, anémie aplasique et anémie hémolytique. Troubles psychiatriques : insomnie, anxiété, dépression, confusion, hallucinations. Affections du système nerveux : maux de tête, paresthésies, étourdissements, somnolence, névrite optique. Infections et infestations : rhinite et méningite aseptique (en particulier chez les patients ayant des troubles auto-immuns préexistants tels que lupus érythémateux systémique et connectivite mixte) avec symptômes de raideur de nuque, maux de tête, nausées, vomissements, fièvre ou désorientation (voir par. 4.4). Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales : bronchospasme, dyspnée, apnée. Affections oculaires : rares cas d’altérations oculaires avec troubles visuels, neuropathie optique toxique. Affections de l’oreille et du labyrinthe : altération de l’audition, acouphènes, vertiges. Affections hépatobiliaires : altération de la fonction hépatique, insuffisance hépatique, hépatite et ictère. Affections de la peau et du tissu sous-cutané : réactions bulleuses incluant syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (très rares), réactions de photosensibilité et réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS) (fréquence indéterminée), pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) (fréquence indéterminée). Affections rénales et urinaires : altération de la fonction rénale et néphropathie toxique sous diverses formes, incluant néphrite interstitielle, syndrome néphrotique et insuffisance rénale. Troubles généraux et anomalies au site d’administration : malaise, fatigue. Déclaration des effets indésirables suspectés. La déclaration des effets indésirables suspectés survenant après l’autorisation du médicament est importante car elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque. Les professionnels de santé sont invités à déclarer tout effet indésirable suspecté via le système national de signalement à l’adresse https://www.aifa.gov.it/content/segnalazioni-reazioni-avverse.

 

GROSSESSE ET ALLAITEMENT

Si vous êtes enceinte, si vous pensez l’être ou planifiez une grossesse, ou si vous allaitez, demandez conseil à votre médecin avant de prendre Buscofen 12 Capsules Molles 200 mg

Grossesse : l’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut affecter défavorablement la grossesse et/ou le développement embryonnaire/fœtal. Des données issues d’études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis après l’utilisation d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse. Le risque absolu de malformations cardiaques augmente de moins de 1 % à environ 1,5 %. On pense que le risque augmente avec la dose et la durée du traitement. Chez l’animal, l’administration d’inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines a montré une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires et de la mortalité embryo-fœtale. En outre, une augmentation de l’incidence de diverses malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pendant la période d’organogenèse. Au cours du premier et du deuxième trimestre de grossesse, l’ibuprofène ne doit pas être administré sauf en cas de nécessité absolue. S’il est utilisé par des femmes cherchant à concevoir ou durant le premier et le deuxième trimestre, la dose et la durée du traitement doivent être respectivement les plus faibles et les plus courtes possibles. Au cours du troisième trimestre de grossesse, tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le fœtus à : toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire) ; dysfonction rénale, pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligo-hydramnios ; la mère et le nouveau-né, en fin de grossesse, à : possible prolongation du temps de saignement et effet antiagrégant pouvant survenir même à très faibles doses ; inhibition des contractions utérines entraînant un travail retardé ou prolongé. Par conséquent, l’ibuprofène est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de grossesse. Allaitement : dans les quelques études disponibles à ce jour, les AINS peuvent être retrouvés dans le lait maternel à des concentrations très faibles. Les AINS, si possible, doivent être évités pendant l’allaitement. Fertilité : l’utilisation de l’ibuprofène peut altérer la fertilité féminine et n’est pas recommandée chez les femmes souhaitant concevoir. Chez les femmes ayant des difficultés à concevoir ou faisant l’objet d’investigations pour infertilité, l’arrêt du traitement par ibuprofène doit être envisagé.

1 de 4

Responsabilità del contenuto
Questa scheda riporta informazioni che non intendono sostituire una diagnosi o consigli del medico, poichè solo il medico può stilare qualsiasi prescrizione e dare indicazione terapeutica. Tutti i contenuti devono intendersi e sono di natura esclusivamente informativa e volti esclusivamente a portare a conoscenza dei clienti o dei potenziali clienti in fase di pre-acquisto dei prodotti venduti attraverso il presente sito. In caso di patologie, disturbi o allergie è sempre bene consultare prima il proprio medico curante.

Nota bene
Le denominazioni dei prodotti, gli ingredienti e le percentuali indicati nelle descrizioni sono puramente indicativi, potrebbero subire variazioni o aggiornamenti da parte delle aziende produttrici. Per l'impossibilità di adeguarsi in tempo reale a tali aggiornamenti, le foto e le informazioni tecniche dei prodotti inseriti su Dottortili.com possono differire da quelle riportate in etichetta o in altro modo diffuse dalle aziende produttrici. L'unico elemento di identificazione risulta essere il codice ministeriale MINSAN. La farmacia online Dottortili.com non garantisce la veridicità e l'attualità delle informazioni pubblicate e declina ogni responsabilità in ordine ad eventuali errori, omissioni o mancati aggiornamenti delle stesse. Dottortili.com non si assume responsabilità per danni di qualsiasi natura che possano derivare dall'accesso alle informazioni pubblicate.

Fonte dei dati: Farmadati Italia
Sito internet: www.farmadati.it

La Banca Dati Farmadati Italia è utilizzata dalla quasi totalità delle farmacie, parafarmacie, erboristerie, sanitarie, GDO, medici informatizzati ecc. grazie alla garanzia di affidabilità, serietà e professionalità storiche dell’azienda sul territorio nazionale.

Il sistema di gestione Farmadati Italia S.r.l è conforme ai requisiti delle norme UNI EN ISO 9001:2015 per i sistemi di gestione per la qualità e UNI CEI ISO/IEC 27001:2017 per i sistemi di gestione della sicurezza delle informazioni.